jeudi 3 août 2017

Un four solaire chez Spirales de lux et les gîtes d'Agéna

Canicule en cours alors pourquoi pas se servir de cette énergie gratuite pour cuire ses aliments!

Nous sommes équipés d'un four solaire depuis le printemps.

La cuisson est ultrasimple il faut juste préparer le repas plus tôt dans la matinée.
La cuisson à température douce est bonne pour la santé des convives.

Ca fait du bien à la planète qui a consommée depuis le 2 aout toutes ses réserves pour l'année.


Une cocotte noire dans un four et ça chauffe
Mettre la cocotte au four 2 heures avant le repas


Betteraves échalottes et huile d'olive 

mercredi 26 avril 2017

Ce weekend à Condillac un épouvantail chic vous attend.

La ferme sera ouverte samedi 29 et dimanche 30 avril 2017 de 9H à 19H pour l'opération de Ferme en Ferme.

C'est l'occasion de venir nous voir pour tout savoir sur la spiruline et visiter aussi les autres fermes du circuit Dieulefit, Vallée du Roubion.

Visite, dégustation, achat durant une petite heure, si cela vous tente, nous serons prêts.



mercredi 8 février 2017

Nougaspir








Je visionne en cliquant sur le lien, puis je me dirige vers la cuisine pour essayer!

Si je n'ai pas de spiruline, je peux commander en ligne    https://www.spiralesdelux.fr


Une barre pour la ballade

mercredi 11 janvier 2017

La spiruline c'est bon en France mais le défi nutritionnel se passe en Afrique

Après l’effet mode et branchouille en France, le défi nutritionnel de la spiruline en Afrique

 10 mai 2016

 
Façonnage avant séchage chez Spirales de lux
Chez Spirales de lux Olivier façonne la spiruline
Riche, très riche même la spiruline. A tel point qu’après avoir conquis les assiettes branchées, cette algue pourrait conquérir l’Afrique et jouer un rôle actif dans la lutte contre la malnutrition. Cette cyanobactérie, autrefois appelée « algue bleue », existe depuis 3,5 milliards d’années. Mais ce n’est que dans les années 60 qu’un botaniste, Jean Léonard, l’a redécouverte. Il ne comprenait pas pourquoi une tribu du lac Tchad était mieux portante que d’autres. Et c’est là qu’il a découvert que ses membres mangeaient de la spiruline, qui pousse spontanément dans les eaux du lac, rappelle Emilie Rousselou, porte-parole de la filière en France.
Dès 1974, l’Onu la désigne comme « aliment d’avenir ». Car la spiruline est un concentré de protéines (65%), de fer, de bêta-carotène et de vitamines (B12, B, E, K). « Un super aliment », selon le Dr Jean Dupire, un de ses propagandistes, mais dont les bienfaits sur la santé ne sont pas établis scientifiquement. Très prisée des végétariens et des sportifs dans les pays occidentaux, elle se présente sous forme de gélules à avaler ou de petites paillettes séchées à saupoudrer sur des salades ou dans des boissons. Une cuillère à café par jour est recommandée et il faut compter une quinzaine d’euros pour une ration mensuelle. « Ce n’est pas un médicament ni un produit magique. Mais c’est un aliment énergisant par sa teneur en protéines, antioxydant et détoxifiant avec sa chlorophylle et anti-inflammatoire avec sa phycocyanine », expliquent Nicole et Olivier Charmont sous leur chaude serre, dans la Drôme, où ils produisent cet « or vert » dans des bassins hors sol.
La spiruline n’a jamais été soutenue par les grandes ONG qui lui préfèrent le Plumpy’Nut, pâte énergétique prête à l’emploi à base d’arachide produite par le groupe français Nutriset
La spiruline pousse naturellement dans des lacs légèrement salés des pays tropicaux. Il est donc facilement possible de reproduire son milieu naturel en bassin, pourvu qu’il y ait suffisamment de chaleur et de lumière. C’est ainsi qu’une centaine de producteurs s’y sont mis en France. Ils produisent seulement 20 tonnes par an, soit à peine de quoi assouvir 15% de la consommation française. Le reste de la spiruline consommée dans l’Hexagone vient essentiellement de Chine, où elle est produite de façon industrielle. En France, les spiruliniers revendiquent une approche paysanne, à petite échelle, avec un séchage doux de l' »algue » qui préserve au maximum ses spécificités.
Un modèle unique qui intéresse les pays en développement où cette cyanobactérie apparaît comme une arme de lutte contre la malnutrition chronique. Ainsi de petites associations, comme les suisses d’Antenna Technologies, se sont adossées au savoir-faire technique de la filière française pour créer des fermes en Afrique, en Asie. « Nous avons monté une vingtaine de fermes. Certaines ont essaimé comme à Madagascar », explique Diane de Jouvencel, qui dirige cette ONG en France. Mais le développement d’une production à grande échelle butte sur deux points. D’abord sur l’acceptabilité de la spiruline dans les assiettes. Car cette bactérie, d’un vert profond, qui croque sous la dent, ne plait pas à tout le monde, notamment en raison de son odeur. Ensuite, parce que la spiruline n’a jamais été soutenue par les grandes ONG qui lui préfèrent le Plumpy’Nut, pâte énergétique prête à l’emploi à base d’arachide produite par le groupe français Nutriset.
Une posture que regrette Antenna Technologies qui rêve d’un monde où chaque village aurait sa ferme de spiruline, et chaque ville des bassins de spiruline sur les toits. Une façon d’être à l’avenir autonome en protéines à l’heure où la consommation de viande est de plus en plus remise en question. Pour surmonter ces blocages, de nombreuses entreprises planchent sur la création de produits agroalimentaires dans lesquels la spiruline se fonderait. Et on peut penser que celle-ci s’immiscera bientôt dans des produits de consommation courante, comme a réussi à le faire la stevia, cette plante du Paraguay au pouvoir sucrant non calorique qui s’est imposée en dépit de son arrière-goût de réglisse.


00-FAVICONFranck Pinay-Rabaroust, avec AFP / © Philippe Desmazes
Pour nous retrouver:
https://www.spiralesdelux.fr/